4 juillet 2013
Lettre à celui qui ne sait pas ouvrir son coeur et moins encore les bras
Comment vous dire monsieur que les épines que vous avez jetées sur moi si fort, et qui s'étaient plantées avec violence tombent une à une, à leur place restent des cicatrices que je prends soin d'apaiser ? En une phrase vous avez tenu à me jeter vos orties...